Il est entré au sein de cette usine d'une manière tout à fait « inabituel ». Durant la deuxième guerre mondiale, il effectue ses études de droit à l'Université de Nancy, quand la gestapo fait à Nancy une rafle. A la prison, les gardiens appelaient les ouvriers des aciéries ; sentant que cette situation lui permettrait de s'en sortir, il se faufila dans les rangs. On lui ordonna de travailler au Service du Travail Obligatoire en Allemagne ou à Pompey. Il choisit la deuxième solution, et effectua toute sa carrière professionnelle au sein de cet établissement, jusque dans les années 1978.
Portrait paru dans la plaquette "Rencontres et souvenirs du début du Siècle ..." éditée à l'occasion d'une conférence au conseil général et dont la copie est conservée dans les classeurs personnels de Lucien Geindre.